grâce à l’imagerie. Dans l’optique d’améliorer les données obtenues, il semblerait très utile que la population générale, mais aussi les différents acteurs de l’urgence, depuis le médecin généraliste jusqu’à l’urgentiste, soient mieux informés sur cette pathologie, qui n’est pas encore reconnue comme une urgence diagnostique et thérapeutique. La nécessaire coopération entre les différents maillons de la chaîne de prise en charge ne peut que s’en trouver améliorée. De même l’utilisation de scores diagnostiques et pronostiques permettrait de réduire les délais de transfert des patients vers les neurologues et les UNV