L’ARTHROLYSE DU COUDE (Aproposde5cas)

Notre étude est proposée d’étudier 15 dossier de raideur du coude traitées chirurgicalement à ciel ouvert au service de chirurgie ostéo-articulaire (B4) au CHU HASSAN II de FES entre janvier 2009 et décembre 2011, qui avait comme objectif : – Analyser le profil des différents types de raideur, leur sévérité et leur prise en charge thérapeutique – Etudier les modalités, les résultats fonctionnels à court et moyen terme en le comparant avec les données de la littérature. L’âge moyen de nos patients est de 34 ans, sans aucune prédominance sexuelle, ni de latéralité. Tous les patients de notre série avaient des antécédents traumatique dont 80% étaient des fractures articulaires où les fractures de la palette huméral et les luxations – fractures de la tête radiale venaient en premier, secondaire dans 90% à des chutes. 40% de ces traumatismes ont été négligés ou traditionnellement traités, le temps entre la fin du traitement initial et la prise en charge de la raideur était avec une durée moyenne de 11 mois. Un bon examen clinique a pu définir, le type de la raideur qui était prédominé par les raideurs mixtes dans 40%, ainsi d’évaluer la gravité de la raideur qui était dans 60% graves à très graves. La radiographie standard était le moyen de diagnostic para clinique de base, où les butoirs osseux étaient prédominant dans 60% des cas et les ossifications à 40%, ce qui en résulte que 90% des raideurs étaient d’origine extrinsèque, puisque 90% des raideurs étaient d’étiologie traumatique. 60% de nos patients ont été opérés en décubitus dorsal sous anesthésie générale, et par voie d’abord postérieure dans 50% des cas, La résection osseuse était le geste chirurgical le plus effectué dans 90%, et la capsulotomie a été pratiquée chez 40% des cas. Nos résultats immédiats étaient Très bien dans 50% des cas selon le gain relatif de MERLE d’AUBIGNE et qui avaient un secteur fonctionnel selon la sectorisation d’ALLIEU et d’ANJOU. Avec un recul moyen de 34 mois, nos résultats ont passé à Bien dans 40% selon le gain relatif de MERLE d’AUBIGNE et que 40% ont gardé un secteur fonctionnel selon la sectorisation de d’ALLIEU et d’ANJOU, vu les complications postopératoire immédiat et à distance qui étaient un seul cas d’infection, et sept cas de récidive d’ossification. Mais ça n’empêche que 80% de nos patients ont était satisfaits de résultats d’arthrolyse, les meilleurs résultats ont été notés chez les raideurs de type minime, et qui n’ont pas présentés de complication postopératoires

Référence1027
Année2014
TypeThèse
Lien document
AuteurAmmor FZ
DisciplineTraumatologie Orthopédie 2
EncadrantEl ibrahimi A